PROPHÉTIES
AN NICOLAS
ARGENTINE(1983/1990)
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Je remercie vivement Jean-Charles CAYOUETTE (Québec) pour son aimable traduction
LES 1800 MESSAGES SERONT TRADUITS EN FRANCAIS PETIT A PETIT....... POUR CEUX QUE CA INTERESSE, UN PEU DE PATIENCE....
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APPROUVE LE 14 NOVEMBRE 1990 PAR L’ÉVÊQUE DE SAN NICOLAS : MONSEIGNEUR DOMINGO CASTAGNA :
On November 14, 1990, the Bishop of San Nicolas, Monsignor Domingo Castagna, issued an edict compromising an «Imprimatur» for the publication of the Spanish edition of the Messages of Our Lady to Gladys de Motta.
The Bishop's statement read as follows : Monsignor DOMINGO SALVADOR CASTAGNA, for the grace of god and of the Apostolic Holy See, Bishop of «San Nicolas de los Arroyos», HAVING : A folder that contains the messages of Our Lady of the Rosary of San Nicolas, presented by Father Carlos A. Perez, Rector of the Diocesan Sanctuary, Our Lady of the Rosary of San Nicolas, located in this city, province of Buenos Aires ; AND CONSIDERING : That its contents have, in correct form, the formulations of the Catholic Faith that must be transmitted to the believers for the knowledge of the doctrine, and THAT IS THE responsibility of the Ordinary of the place to «take care of the catechization of the Christian population, for their faith, through the Doctrine's teaching, and that the practice of Christian life become alive, explicit and operative» (C. 773), and for the same reasons, give the necessary approval (C. 827.1) : FOR THE PRESENT, 1. Grant the «Imprimatur» for the folder that contains the Messages of Our Lady of the Rosary of San Nicolas, to be published in Spanish; 2. Remembering that in the publication should be stated : «with the Domingo Salvador Castagna, and the date of the license granted being that of this decree, and that the approval for the publication is valid for the original text, but not for successive editions, if they come (C. 829). 3. To be communicated to whom it may concern, and file. Given in «San Nicolas de los Arroyos», Bishop's See, the fourteenth day of the month of November of the year of Our Lord, nineteen, ninety. Signed: Domingo Salvador Castagna Bishop of San Nicolas Ariel David Busso Chancellor |
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RÉSUMÉ
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Le contenu des messages est, là encore, un appel à la conversion, la prière, à la vie chrétienne.
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La note dramatique et eschatologique est importante :
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17 décembre 1983 :
«L'étoile qui brille est mon Fils. Il faut le dire au monde. Ne laissez pas s'en aller l'étoile sans la suivre. Le Seigneur veut refaire le monde»
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27 décembre 1983 :
«Toute l'humanité est contaminée»
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30 décembre 1983 :
«Vous avez été choisie pour rapporter la demande urgente du Christ Jésus pour que le monde se convertisse. Je suis inquiète pour ce monde. N'oubliez pas que seul le Seigneur peut vous sauver. Lisez Jonas 4 : 11 et Michée 6 :8-9»
Jonas 4 :11 :
«Et moi je n'aurai pas pitié de Ninive la grande ville où il y en a plus de cent mille êtres humains qui ne savent distinguer la droite de leur gauche et des bêtes sans nombre»
Michée 6 : 8-9 :
«On t'a fait connaître ô homme, ce qui est bien, ce que le Seigneur exige de toi ! Rien d'autre que de respecter le droit, aimer la fidélité et t'appliquer à marcher avec ton Dieu. La voix du Seigneur appelle la ville. Il sauvera ceux qui craignent son nom. Ecoutez, tribu et assemblée de la ville»
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8 janvier 1984.
«En ce moment, l'humanité tient à un fil. Si ce fil lâche, nombreux sont ceux qui ne pourront pas se sauver. C'est pourquoi je vous demande de réfléchir. Ne tardez pas car le temps prend fin, et il n'y aura plus de place pour celui qui sera en retard»
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14 janvier 1984
«Si je cite des passages bibliques avec mes messages, c'est pour faire savoir au monde qu'elles sont authentiques et que vous n'ayez plus aucun doute. Mon Fils Jésus demande la conversion. Etudiez ces passages et cherchez les réponses qui vous ont échappés jusqu'ici»
Marie a demandé à Gladys de lire la bible, Aggée 1 :5-7 et 2 :23 :
Aggée 1 :5-7 et 2 :23 :
«Et maintenant, ainsi a parlé le Seigneur le tout puissant : Réfléchissez bien à quoi vous êtes arrivés. Vous avez semé beaucoup mais peu récolté vous mangez mais sans vous rassasier, vous buvez mais sans être gais, vous vous habillez mais sans vous réchauffer et le gain du salarié va dans une bourse trouée. Parlez donc à Zorobabel fils de Shaltiel, le gouverneur de Juda et à Josué fils de Jehosadak le grand prêtre et à tout le reste du peuple et dis-leur : Quel est parmi vous le survivant qui a vu cette maison dans son ancienne gloire ? Et comment la voyez-vous à présent ? N'apparaît-elle pas à vos yeux comme rien ?"
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18 janvier 1984
«Récitez le Rosaire, et faites savoir au Seigneur que votre conversion l'accompagne. Vous aurez des bénédictions en abondance du Sacré Cœur de Jésus»
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18 février1984.
«Partout où mes messages ont été rapportés, il semblerait que l'on ait prêché aux cimetières. Il n'y a pas eu la réaction attendue par le Seigneur. C'est pourquoi l'on vous a choisi pour prêcher»
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2 décembre 1984.
«Il faut frapper une médaille à mon image avec les mots Marie du Rosaire de Saint Nicolas et à l'inverse la Sainte Trinité avec sept étoiles»
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24 janvier 1986.
«Ma fille, il faut lire lentement mes messages pour les assimiler comme je le veux»
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7 mars 1986.
«Le prince du mal sait que son triste royaume arrive à sa fin. C'est pourquoi il répand son poison avec toute sa force. Il en aura encore un peu. Sa fin approche, Amen»
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3 avril 1986.
«Que personne ne soit condamné et puisse chercher la force du Seigneur. C'est ce que votre Mère demande car la faiblesse du monde ne peut être renforcée qu'en Dieu»
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1er juin 1986.
«Jésus, l'Eucharistie ! Son vrai Corps vivant. Adorez le et aimez-le. C'est dans l'Eucharistie que vous pourrez savoir comment. Il s'est sacrifié pour vous. C'est dans l'Eucharistie qu'il devient encore Sang et Corps»
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23 juillet 1986.
«Il y a l'obscurité partout et des 'distractions» qui se répandent. C'est le mal et sa victoire apparente. Mais le travail de Dieu s'accomplira. la justice de Dieu sauvera le juste»
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27 octobre 1986.
«Chère fille, aujourd'hui la prière sera généreuse. Aujourd'hui le pape, sachant ce que le Seigneur veut de lui, lutte pour la paix. Cette paix si nécessaire dont le monde a besoin. Mes chers enfants, les prêtres doivent suivre le pape, car marcher avec lui c'est marcher avec mon Fils lui même»
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5 janvier 1987.
«Mes pauvres enfants, il y a parmi vous que très peu qui essayent d'aller vers le Cœur du Christ, et beaucoup d'entre vous se détruisent dans le péché. En vérité, ce temps est un temps précieux. On ne doit pas le gaspiller et on doit en profiter, car le Rédempteur offre à l'humanité le chemin de faire face à la mort, qui est seulement Satan, comme il l'a fait après la croix. Il offre aussi à l'humanité sa propre Mère, Médiatrice de toutes les grâces. Mes pauvres enfants, mon cœur désire que vos âmes vivent pour toujours»
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24 mars 1987.
«Voila ce que je dis à ceux qui me sont consacrés. Renouvelez-vous par la prière, une prière intense. Je désire la persévérance, la fidélité. Je veux des âmes authentiques. Je veux que vous soyez avec moi Vous avez atteint des cœurs, continuez dans cette voie. Offrez mes enfants avec votre amour, votre esprit de pénitence»
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12 mai 1987.
«Quand Il était sur la terre, mon Fils vivait seulement des choses du Ciel. Rien de matériel ne l'attachait aux choses de la terre. Il savait qu'il avait à vivre son temps avec les hommes. Ses dernières années il les a consacrées à être le berger, pour rassembler le troupeau de Dieu, son Père. Tous ceux qui n'ont pas encore compris l'importance du troupeau de Dieu, qu'ils saisissent la valeur de l'union de ce troupeau, que mon Fils a tant aimé»
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13 juin 1987.
«Je demande à mes enfants d'aimer et de glorifier la Très Sainte Trinité. Ne cherchez pas une réponse à ce qui est interdit à l'humanité. La Très Sainte Trinité demeure le secret de Dieu. Il est le seul à le connaître. Il lui appartient. Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit»
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8 octobre 1987.
«Vous êtes tous une partie du corps mystique qui est l'Eglise dont la tête est le Christ. Sur terre, le vicaire de mon Fils est responsable de la continuité de ce Corps. c'est pourquoi vous devez suivre votre pape, et suivre son enseignement qui est celui du Christ. Que la volonté de mon Fils soit faite»
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27 février 1988.
«L'athéisme inonde les nations. Partout, Dieu est absent. C'est pourquoi la parole de Dieu doit être écoutée et non méprisés. Les actions de sa parole peuvent être puissantes si les cœurs s'ouvrent»
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22 mars 1988.
«Aujourd'hui, tant de cœurs sont victimes de Satan ? Ils se sont éloignés de Dieu et ne demandent pas son aide. L'âme doit se fortifier de la puissance de Dieu»
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26 mars 1988.
«La venue du Sauveur est imminente. Comme le dit l'Evangile, nul ne sait la date ou l'heure, mais cette heure viendra, et c'est certain que l'âme du chrétien doit être préparée pour cette heure. Même les pierres en seront les témoins. C'est pourquoi, ma fille la Mère veut que les paroles du Fils soient connues»
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5 mai 1988.
«L'heure de la Mère est venue. Mon cœur de Mère a déjà préparé les sœurs pour les convertir. Je viens du Ciel afin de vous guider vers le Christ»
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11 janvier 1989.
«Mon enfant, hier c'était à Lourdes, aujourd'hui c'est ici, mais c'est toujours une bonne chose que la Mère aille chercher ses enfants. Je demande d'eux la prière le jeune et la conversion. Ils seront sauvés s'ils ne s'éloignent pas du Seigneur s'ils acceptent le Seigneur. Beaucoup d'âmes n'ont pas la paix. Si l'âme cherche la paix elle trouvera»
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17 février 1989.
«L'ennemi a déjà été combattu, sa fin est proche. Il profite de sa dernière chance qui réside dans la faiblesse de l'homme orgueil. Cependant, je vais le combattre et j'ai déjà commencé ce combat. Le monde doit le savoir. La Mère du Christ doit triompher de Satan, parce qu'en sa compagnie seront présents les humbles fils de Son Fils».
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13 mai 1989.
«Ma fille, comme à Fatima, je reviens sur la terre. Mes visites se prolongent car l'humanité est entré dans une période dramatique. L'homme n'a-t-il pas compris qu'il doit être au service de Dieu ? S'il résiste son âme va se perdre. Beaucoup d'âmes refusent mon invitation à la prière et à la conversion. C'est pourquoi le travail du diable s'accroît et s'étend. Mes chers enfants c'est seulement par la prière et la conversion que vous retournerez à Dieu. Qu'Il ne trouve pas vos cœurs desséchés»
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Autre message :
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5 mai 1988.
«L'heure de la Mère est arrivé. Mon cœur de Mère a déjà commencé à préparer les cœurs et à agir en eux. Je viens du ciel afin de vous conduire vers le Christ. Faites-le savoir»
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Un message qui rappelle étrangement celui de SAINT LOUIS MARIE GRIGNON DE MONTFORT : «la Vierge fera de grandes merveilles dans le monde pour détruire le péché et établir le règne de Jésus-Christ».
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Dans son dernier message :
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«Autrefois, le monde a été sauvé par l'Arche de Noé. Aujourd'hui, l'arche c'est ma Mère. C'est par son intermédiaire que les âmes se sauveront, parce qu'elle les conduira vers Moi. Celui qui repousse ma Mère, me repousse. Ceux qui laissent passer la grâce de Dieu, ces jours-ci, sont nombreux.»
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La voyante, prénommée Herminia Gladys Quiroga de Motta , reste cachée. L'Evêque guide et canalise la ferveur du pèlerinage d'une manière exemplaire.
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Monseigneur Castagna préside souvent la procession mensuelle, chaque 25 septembre , qui rassemble jusqu'à plus de 10 000 personnes. Il célèbre la Messe, prêche et construit le sanctuaire sur le lieu des apparitions, au bord du Parana. L'évènement se développe dans une entente exceptionnelle sur tous les plans entre le peuple de Dieu, l'Evêque du Diocèse et la Conférence Episcopale Argentine. Pour une fois, des apparitions font leur chemin, sans un être pomme de discorde. Que s'est-il donc passé à San Nicolas en Argentine ?
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Herminia Gladys Quiroga de Motta est née le 1er Juillet 1937 à l'hôpital de Saint Philippe de Saint Nicolas des Arroyos.. D'une famille de huit enfants, elle a été baptisée dans la chapelle du même hôpital le 4 juillet. A l'âge de deux ans et demi, père et fils déménagèrent à La Emilia, en montagne, près du centre de Arroyo. On n'a pas d'élément notable concernant son enfance, explique le docteur Raul Hetor Mejia qui l'a examinée. On retient avec clarté le temps de l'école et la vie familiale. On sait qu'elle travaillait à la vie commune à la famille, de pauvres travailleurs qui connaissaient la pauvreté mais aussi la difficulté. Ses parents étaient des gens généreux, joyeux, sympathiques, entretenant d'excellentes relations entre eux et les enfants. Elle est la dernière de 8 enfants, 4 filles et 4 garçons avec lesquels elle s'entendait très bien. Elle a fréquenté l'école primaire et la compagnie textile «La Emilia». Mais elle était la seule élève en quatrième.
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Elle se maria avec Ricardo Motta à l'époque où elle vivait à La Emilia. Ils s'établirent tous deux à Saint Nicolas ou travaillait son mari comme employé hautement qualifié de Somisa. C'était un homme parfaitement intégré, honnête, croyant et très respectueux de la mission de son épouse. Gladys le respectait comme chef de famille. Elle assistait, chaque jour, à la messe de la cathédrale. Ils dirigeaient, chaque jour, ensemble, la récitation du Saint Rosaire. Les deux filles de Gladys : Nora et Célina, étaient mariées et mères de famille.
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Le Seigneur a béni gladys et ses cinq petits-enfants.
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Elle habite 122 route Figari, voisine de Campito, où, selon la demande de la Vierge, on a bâti une grande église. Gladys a dû subir plus de 10 opérations dans sa vie. En septembre 1985, quand l'a examiné le docteur Mejia, elle ne présentait pas «d'évolution qui nécessitait un suivi médical».
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PRATIQUE RELIGIEUSE
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Elle fut la conséquence d'une foi simple et sans questionnement tout comme sa mère qui était son modèle. Elle est morte quand Gladys avait 29 ans. Ceci l'a énormément affectée car elles étaient très proches.
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En 1976, après avoir été hospitalisée pour une intervention chirurgicale, elle s'est complètement jetée dans les bras de Marie et lui a fait la promesse d'aller pendant 5 ans au Sanctuaire de Lujan en marchant sur les genoux de l'entrée jusqu'au maitre autel pour remercier la reine du ciel de l'avoir fait revenir à la vie, laquelle fut religieusement remplie. La docilité de son âme à la conversion sous la protection providentielle de sa dame, a atteint une maturité hors du commun, suivie par le curé de la cathédrale qui a été le premier confesseur de la voyante.
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Le padre Carlos A Perez, la décrivait comme suit :
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«Les souvenirs que j'ai d'elle sont ceux d'une femme simple mais intelligente, bonne ménagère, dévouée à son mari et ses filles qui étaient le centre de sa vie. D'une piété simple, elle n'avait pas de connaissance théologique ni de connaissance biblique. Mais après les apparitions, elle commença à progresser et le Père lui fit cadeau d'une Bible. Plus tard, elle commença à sentir la nécessité de faire oraison et de méditer et consacra plus de temps à la lecture de la bible. Mais tout cela ne fut pas facile à organiser avec ses occupations ménagères qui étaient les mêmes qu'auparavant.
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Discrète et silencieuse, elle demeurait ou restait dans le petit oratoire proche de sa maison. Malgré son désir de respecter sa retraite où elle s'efforçait de passer inaperçue, il lui devenait difficile de demeurer cachée tant son nom et sa vie étaient extraordinaires, elle la messagère de la vierge. Elle reçu, en plus, l'épreuve des stigmates qu'elle accepta très bien
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Avant le 25 Septembre 1983, Gladys n'a jamais eu d'apparition ni connu de phénomène extraordinaire d'aucune sorte.
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Un seul précédent peut être mentionné : le jour avant la première apparition, le 24 Septembre 1983, une lumière jaillit du chapelet qui pendait sur un mur de sa chambre.
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Quelques voisins, le 24 de septembre l983, l'ont également vu, et ont commencé à prier un premier Saint Rosaire, tous ensemble. Elle a, ensuite, continué seule.
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C'est après la récitation du Saint Rosaire, que la première apparition a eu lieu.Cette première rencontre l'a surprise sans la perturber car elle a reconnu la vierge avec son enfant grâce à son apparence bien connue, réhaussée ce jour là par une vive lumière. Gladys continue à recevoir les visites de la Vierge quotidiennement qui lui transmet ses messages. Elle se dévoue à prier «jour et nuit»aux intentions que lui confient par milliers les pélerins dans d'énormes boites à lettres qui se trouvent en face de sa maison, 122 route Figari. La vierge lui a demandé de les lire une à une et prier pour celles-ci. Chaque 25, après la messe du campito...une fois que l'apparition a quitté sa chambre, Gladys sort dans le petit jardin de sa maison pour saluer et recevoir en main propre les demandes des pélerins. Elle ne désire pas qu'on la prenne en photo. Cette foule qui l'aime tant accède à son désir».
La seule photo qu'on ait d'elle est celle qui figure dans la page ou elle est agée de 17 ans.
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Soeur Martha la décrit ainsi :
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«Gladys inspire le respect. Elle est très introvertie ( parlant de moins en moins avec le temps), avec une grande chaleur humaine. Dieu l'a préparée depuis toujours».
Le Père Perez dit d'elle que :
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«c'est une personne simple sans complication et pieuse, qu'elle n'a aucune tendance consciente ou non à tromper, qu'elle a un équilibre psychique et physique normal tel que l'ont constaté les médecins. De toute évidence elle a un rôle à jouer :
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«être le trait d'union», comme le dit la Vierge, entre les gens et elle».
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Le docteur fut le premier habilité à étudier Gladys. Il est docteur en médecine à l'université de la Plate avec une spécialité médicale clinique et psychiatrique. Il dit de Gladys . «qu'elle est une personne lucide, pleine de bon sens, dotée d'une grande sensibilité et une propension à se laisser aller aux sentiments de compassion, d'humanité et de tendresse». Il la décrit bien «dotée de la vertu de tempérance». . Il lui reconnait un bon moral lui permettant de résister à la douleur physique et psychique vécues dans la paix et le calme. . «Ferme dans ses convictions, elle ne ment jamais et il n'existe pas de contradiction dans ses propos. Elle a une affectivité normale, bien adaptée à son milieu social. Normale dans la perception des concepts du monde qui l'entoure et la perception des évènements de l'actualité. D'un naturel intuitif et raisonnement logique. . Sa mémoire conserve bien les impressions, et spécialement celles qui affectent la joie de son esprit, et produisent les idées avec clarté en particulier celles que la Vierge lui dit, mais ne peut pas toujours donner les explications du contenu parce qu'il échappe à ses connaissances. Durant les moments de ses visions et locutions intérieures, elle a l'intuition du contenu du message et reproduit ce que Notre Dame dit. Sa personnalité s'est affinée face aux évènements des derniers temps, lui donnant ténacité et fermeté dans l'action. Elle aime ses amis dans la foi , prie pour ceux qui ne croient pas en la parole de dieu, les prend en pitié. Obéissante en tout à son directeur spirituel, elle ne dit rien qu'il ne lui autorise pas, se plait dans la création , avec grand amour pour les animaux, les plantes, les fleurs et les choses de l'univers. Elle rencontre sa famille, amis et voisins, se réjouit et rit franchement, se divertit en faisant des farces et se réjouit. On note dans son regard l'affection qu'elle a pour son interlocuteur. . Elle a la vertu de franchise. Elle reste positive même quand elle ne partage pas une idée. Elle est ferme dans ses convictions, précise en tout . Son discours est bien argumenté et respecte à la lettre ce qu'elle avance imperturbablement. Par moment, elle devient pensive, comme si elle se référait ou revoyait en esprit les visions de la Mère du ciel de son Fils et des lumières du Saint Esprit qui dans certaines circonstances sont la référence. Gladys est pieuse, humble, tranquille , mène une vie simple empreinte de douceur, toute occupée à l'oraison, la communion fréquente, les tâches de la maison , toute dévouée à sa famille et aux besoins de chacun». |
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RAPPORT DU PÈRE PEREZ
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Dans son livre des manifestations de Marie (p 61), le prêtre transcrit un témoignage du père Carlos Antonio perez selon Gladys Quiroga de Motta et sur les évènements se référent à la Sainte Vierge Marie de San Nicolas. «Comme directeur spirituel de Madame Motta, Je tiens à exprimer ma conviction profonde et constante de l'authenticité de ces faits, compte-tenu de tout ce qui m'a été donné de connaitre comme confident des expériences de madame Motta. Sans hésitation, je peux dire qu'après 7 mois , les manifestations de la Vierge ont été reçues avec toutes les précautions d'un examen consciencieux et reconnait le fait comme étant surnaturel. Mon intuition m'a confirmé la même chose ces sept mois durant, je me base prudemment pendant ce laps de temps sur des faits sérieux comme preuves qui ont une valeur objective».
Fin 1984, le Père Carlos Pérez écrit sur la voyante :
«Un processus de purification et de rencontre profonde avec Dieu, produit en elle une réelle transformation .Les choses du ciel se sont tout d'abord présentées de façon simplement humaine pour lui faire gouter la présence du seigneur par Marie. Ce goût de de ce qui est céleste lui enlève le goût des choses de la terre, non parce qu'elle n'a pas la capacité de l'apprécier, mais parce qu'une réalité supérieure qui la dépasse la comble. Maintenant , elle préfère la solitude et le silence, mais sait que ceux-ci ne sont guère possibles autant qu'elle le souhaiterait ; elle accepte joyeusement saisissant ce qui est essentiel Son amour pour les siens est très grand, et elle a des devoirs envers tous ceux qui lui sont confiés. Au sujet de la charité, un voisin a donné un témoignage très intéressant sur la serviabilité de Madame de Motta avec tous ses voisins et sa prudence à ne pas tomber dans la critique, dans des situations qui pourraient l'occasionner d'une certaine manière. Sa vie d'oraison est continuelle et s'enracine au plus profond d'elle-même, de même dans sa façon de vivre en union à Dieu durant la journée et le louer en toutes circonstances, conformément à ce que demande la Vierge. L'obéissance à son directeur spirituel est très grande. Elle comprend clairement qu'il est important de bien mener la mission exigeante qu'elle a peine à comprendre et lui pèse parfois. Elle comprend qu'elle rend service à l'Eglise et elle l'accomplit avec humilité . Sa discrétion est de grande importance pour son détachement. Si ça ne tenait qu'à elle, son nom ne serait jamais connu. Les gens ne l'ont pas tracassée, aussi passe t-elle inaperçue dans les réunions ou les célébrations. Son seul souci est que la Vierge soit connue et que tous la voient, qu'ils connaissent ses messages et qu'ils l'aiment . Elle sait qu'elle n'est qu'un instrument pour conduire à autre chose. Son don d'elle-même à Dieu est inconditionnel et démontre une force extraordinaire au milieu de grandes difficultés. Cette force vient clairement comme un don de Dieu sans laquelle, cette femme de grande sensibilité, par moments immergée dans de grandes épreuves n'aurait pu, avec sa santé défaillante, persévérer fidèlement en la mission de la Vierge. Les souffrances que cette mission on values à madame Motta sont très difficiles à expliquer par des mots. Ce qu'il faut retenir est une expérience inexprimable qu'elle a à vivre L'attitude constante pendant longtemps, de questionnement du Directeur spirituel n'a fait qu'accroitre en elle la douleur du doute. Non pas parce qu'il ne la croyait pas mais qu'il ne croyait pas aux évènements dont elle avait une absolue certitude, au point de donner sa vie pour cela. Bien que la souffrance la place parfois dans des situations limites, en définitive, elle ne rejette pas les douleurs physiques ou morales, dans la mesure où elle les comprend nécessaires dans le plan de Dieu et de la Rédemption. Graduellement elle comprend tout et dans les derniers mois, son silence intérieur a grandi, la gardant à la maison et avec les quelques personnes concernées par les évènements Sans doute le dialogue croissant avec le seigneur, la porte t-il plus fortement à considérer ce qu'elle vit comme étant normal». |
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LES STIGMATES DES STIGMATISÉS |
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Le Père Michael Freze, SFO, dans son livre «Ils ont porté les blessures du Christ» dit que dans l'histoire de l'Église il y a eu 321 stigmatisés. Un grand nombre a été canonisé. Parmi les stigmatisés qui ont reçu les blessures du Christ, on compte : Saint Françoise d'Assise, Sainte Catherine de Sienne, Thérèse Neumann et le Père Pío.
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Actuellement, plusieurs personnes connues vivent la même chose, parmi lesquelles on trouve Gladys Herminia Quiroga de Motta de San Nicolás de République Argentine, celle qui reçoit quotidiennement les visites de la Très Sainte Vierge depuis le 25 septembre 1983 jusqu'à aujourd'hui, et celle qui lui donne des messages pour être communiqués au monde entier.
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Le 23 octobre 1984, le Père Pérez a envoyé à son évêque le rapport suivant qui s'est avéré prophétique :
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«Gladys accepte les souffrances physiques et morales, puisqu'elle les juge nécessaires pour l'accomplissement du plan de Dieu et de la Rédemption. Elle avance graduellement dans la compréhension de ce mystère, et dans ces derniers mois, son silence s'est approfondi en silence intérieur. Elle apprend à demeurer cachée tout en étant dans sa maison, ou en compagnie de ses interlocuteurs. Son dialogue intérieur croissant avec le Seigneur la rend plus silencieuse pour parvenir à communiquer ce qu'elle vit».
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(...) je la crois appelée à vivre les grandes douleurs de la Passion (...)»
Comme explique le père Pérez, les premiers signes physiques qu'a connus la voyante ont été ceux qui sont reconnus comme «stigmates intérieurs», c'est-à-dire, non observables. Il ne s'agit pas de blessures sanglantes mais «d'une simple inflammation intérieure la peau, d'irritation et de douleur».
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Sont ensuite apparus les signes extérieurs. Le vendredi 16 novembre 1984, Gladys a souffert les douleurs de la Passion. Les stigmates sont apparus et continueront à apparaître les jeudi et vendredi de l'Avent de 1984 et pendant le Carème, chaque année.
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Le docteur Pellicciotta décrit le phénomène de la stigmatisation de Gladys de la manière suivante :
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«Commence avec une éruption sur le front de type inflammatoire, une oedème (...) comme si des marques parcouraient le front. Elle avait une douleur intense à la tête (...), je lui ai donné un cachet de corticoïdes (...) ; mais elle n'a pas disparu (...). C'est ainsi qu'a commencé la première stigmatisation».
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«Les jours suivants apparaissent des pigmentations sur le poignet (...). A cet endroit, passe le nerf moyen. Dans le bras nous avons trois nerfs : le nerf cubital, le nerf moyen et le nerf radial. La lésion de ces nerfs, logiquement, empêche les différents mouvements. Quand le nerf moyen est touché, le pouce reste vers l'intérieur (...) la peau commence à s'ouvrir et, ensuite, le sang coule(...). les pieds et les genoux sont totalement collés ; mais ce qui est extraordinaire est que les pieds restent en hyper extension (et quand les pieds s'étirent en hyper-extension la jambe se raidit) or, chez Gladys ils sont totalement souples. C'est une chose que l'Évêque a pu vérifier (…)».
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«Le Vendredi Saint elle est crucifiée dans le lit (...). Elle souffre de douleurs terribles (...)».
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«Il s'est formé comme une croix sur sa poitrine (...). Le Vendredi Saint apparaissent différentes traces partielles de flagellation, non comme la flagellation du Christ, comme si c'étaient des traces de flagellation mais comme si elles étaient fragmentées. Alors, on peut voir des lacérations marquant son dos douloureux(...).... de la souffrance, de l'angoisse, de la tristesse (...). «Ce qui est surprenant, c'est que tout disparaît le Samedi saint et le dimanche de Pâque».
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Les limites de la science médicale ne permettent pas d'expliquer les causes de ce phénomène. Toutefois, le résultat de certaines recherches scientifiques l'associent à un événement extraordinaire.
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Selon les médecins Pellicciotta et Telechea :
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«nous avons constaté plusieurs marques, en particulier sur un bras où il n'y a qu'une seule marque alors que sur l'autre, il y a deux points comme si son bras avait été cloué deux fois. Cela coïncide avec le Saint Suaire
Les stigmates apparaissent sur les poignets. Il y a une particularité : sur un des bras il y a une seule marque. Jésus fut cloué dans l'un des deux bras deux fois parce que les soldats n'avaient pas trouvé l'espace exact . Les vendredis, ça saigne ; les samedis commence à se former une coagulation ; et à partir du dimanche, la peau est normale. Il reste une marque colorée qui de nouveau devient plus prononcée ; et le vendredi , la plaie réapparait . Les vendredis du carême cela s'est produit plusieurs fois. Certaines fois cela commence dans la période qui suit Noël ; d'autre fois durant le carême ; Tout dépend des années. Il n'y a pas d'explication scientifique.
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Effectivement, il est impossible d'expliquer les causes de ce phénomène dans les limites de la scence médicale. Les conclusions des investigations scientifiques conduisent à l'associer à une manifestation surnaturelle. Selon les observations des docteurs Pellicciotta et Telechea , Les plaies ressurgissent sur les poignets et non sur la paume de la main. les pouces de gladys se contractent et les plaies des poignets s'ouvrent.
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Les médecins ont également analysé le sang qui coule des blessures et ont confirmé l'inexistence de teintures ou autre produits artificiels. Les stigmates des poignets apparaissent durant l'Avent et le Carême tandis que le sang ne coule que les vendredis du Carême. Les stigmates des pieds n'apparaissent que le Vendredi Saint. Ils commencent à se former à 3 heures de l'après midi, jour et heure de la mort de Jésus. L'épaule de Gladys reste marquée par une blessure causée aux coeurs de Jésus et Marie, plus grande très douloureuse».
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Selon sa soeur Martha :
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«Gladys souffre d'avantage des douleurs causées par les hommes aux coeurs de Jésus et Marie que des douleurs des stigmates qui lui donnent la grâce de s'unir aux souffrances de Jésus sur la croix».
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Actuellement, la stigmatisation continue mais devient plus espacée.
Le Père Perez discerne ces manifestations ainsi :
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«Quand il y a des grâces extraordinaires, elles ne se produisent pas nécessairement tout le temps. Dieu le permet comme il veut et quand il veut et décide de leur durée. Cela n'a aucune incidence sur l'authenticité des évènements, compte tenu qu'il s'agit d'une participation aux douleurs de la passion, tout chrétien pouvant l'accepter librement et volontairement pour s'unir à la Passion du Christ. Les stigmates extérieurs ne sont que la projection de la stigmatisation intérieure».
Bien que la souffrance la place parfois dans des situations limites, en définitive, elle ne rejette pas les douleurs physiques ou morales, dans la mesure où elle les comprend nécessaires dans le plan de Dieu et de la Rédemption. Graduellement elle comprend tout et dans les derniers mois, son silence intérieur a grandi, la gardant à la maison et avec les quelques personnes concernées par les évènements
Sans doute le dialogue croissant avec le seigneur, la porte t-il plus fortement à considérer ce qu'elle vit comme étant normal».
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LA SOURCE DE MARIE
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Trois rêves et une locution intérieure de la voyante Gladys, conduisent à la recherche de l'eau du Sanctuaire, celle qui a été finalement trouvée quand, le 4 juin 1991, on a commencé la percée définitive.
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Le premier rêve sur l'existence de l'eau a été celui de du 3 août 1984. Le rêve suivant est celui-ci :
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«Ce matin je me réveille après avoir fait un rêve. On voyait beaucoup de gens qui travaillaient dans le «Campito». Ils creusaient les fondations du Sanctuaire. En avant, au centre, ils mettaient à jour un puits, parce que je leur avais dit que de là, allait sortir de l'eau, là où se trouvait l'arbuste».
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«Ce matin, quand la Vierge m'a parlé, je lui ai demande ce que signifiait le rêve et elle m'a dit : «Beaucoup de rêves se réalisent, et ce rêve se réalisera». Et elle sourit.»
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Cinq années passèrent, quand, le 30 novembre 1989, Gladys eut un second rêve concernant l'eau, qu'elle relate ainsi :
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«J'ai récemment rêvé à propos de l'eau du Sanctuaire. Cette fois je l'ai vue autour de l'église qui courait sur des canaux. Il y a un mètre de distance entre les canaux et le Sanctuaire. L'eau était très claire. J'ai de nouveau vu la Très Sainte Vierge seule, comme l'Immaculée, et j'ai entendu qu'elle me disait : «Grande est la bénédiction qu'il y a sur ton peuple : bénédiction de Dieu pour ses fils»
.Deux jours après, Gladys profondément recueillie, reçut dans une locution intérieure, le rendez-vous biblique du prophète Ezequiel, chapitre 47, verset 1, au sujet de l'eau :
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«Il me ramena ensuite à l'entrée de la maison. Et voici que des eaux sortaient de dessous le seuil de la maison, du côté de l'orient; car la face de la maison regardait l'orient. Et les eaux descendaient de dessous le côté droit de la maison, au midi de l'autel» (Ezequiel, XLVII, 1)
Le 29 janvier 1990, eut lieu le troisième rêve, que rapporte ainsi Gladys : «J'ai rêvé qu'on voyait une source avec une eau très cristalline. La Sainte Vierge me dit : Guijón, Guijón, qui signifie en hébreu : «Que jaillissent les fleuves d'eau vive». «La source de Marie» est aujourd'hui comparée à celle de Jérusalem avec le torrent du Cedrón».
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Elle exprimait son désir qu'il y ait une source, d'où sortirait continuellement de l'eau, comme signe béni de la présence salvatrice du Seigneur, qui, par Maríe, nous offre en abondance la miséricorde et la rédemption.
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Une Commission a été formée, dirigée par père Pérez, un géologue, un prêtre et deux architectes.
On a creusé à plusieurs endroits en cherchant le lieu précis et le 4 juin 1991 on a commencé de creuser dans la crypte, là où se trouvait le filon primitif qu'a indiqué le rayon de lumière, qui serait ensuite le seuil du Sanctuaire.
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En arrivant à une profondeur de 47.50 mètres et en extrayant la première eau, tout le Sanctuaire a été imprégné d'un fort parfum de roses.
L'eau a été récupérée dans des réservoirs et a commencé à être distribuée aux pèlerins à partir du 25 septembre 1991. On considère que la découverte de l'eau de la Vierge est un cadeau très spécial de notre Mère et énormément de pèlerins ont reçu des guérisons de toutes sorte. Certains la boient, l'utilisent pour bénir les maisons et les personnes ; et pour la passer sur les parties du corps qui ont besoin d'être guéries |
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GUÉRISONS MIRACULEUSES
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Par la médiation de Marie du Rosario de San Nicolás
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Au 434 de la rue France se trouve le Bureau des déclarations médicales qui du Mouvement Marial de Saint-Nicolas. Le bureau est ouvert le 25 de chaque mois et est chargé d'enregistrer les cas de guérisons extraordinaires et de déterminer si elles sont intéressantes ou pas pour l'Eglise c'est-à-dire, si elles peuvent être considérées comme miraculeuses.
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PREMIÈRE GUÉRISON
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Au cours de l'automne 1984, Mgr Castagna s'interrogeait sur les événements qui se déroulaient et le nombre de grâces qui en résultaient. Il aurait aimé avoir un grand signe.
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C'est alors que la première guérison remarquable, eut lieu dans l'histoire de San Nicolás, une guérison toujours à l'étude.
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Voilà ce qui s'est passé : Gonzalo Miguel Godoy enfant de 7 ans, présentait les premiers symptômes d'une maladie qui le rendit brutalement presque paralysé. Il ne pouvait plus parler. Une radiographie révéla les signes d'une tumeur au cerveau : une lésion frontale sur le côté gauche, compressait la totalité de la zone, provoquant la paralysie du côté droit.
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Sa mère s'est abandonnée à la protection de la Vierge en lui demandant la force de supporter l'inévitable, et l'opération qui devrait laisser l'enfant affaibli, s'il échappait à la mort. La mère était enceinte de sept mois de leur septième enfant . Elle vivait une grande dépression et une terrible angoisse, à laquelle succéda (à son grand étonnement) une grande paix intérieure.
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Les parents demandèrent, pour l'enfant, le sacrement des malades afin qu'il reçoive la première communion. Mgr Castagna approuva cette demande et les envoya au prêtre délégué auprès des étrangers, qui était un ami de cette famille. Il lui demanda de confier l'enfant qui devait recevoir Jésus, sous la protection de la Vierge du Rosaire de San Nicolás.
Le petit reçu ce «don de Dieu» avec une grande force intérieure et les yeux grands ouverts, contemplant l'hostie avant la communion. Et voici, que 45 minutes après, ils commencèrent à remarquer des signes d'amélioration, la paralysie s'améliora notablement Les joues de l'enfant retrouvèrent leur couleur et il sortit de sa léthargie.
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Trois jours plus tard, on lui fit une ponction lombaire: le test ne révéla aucune pathologie. On diminua la dose de médicaments, l'enfant resta éveillé et commença à jouer. Les jours suivants, Gonzalo commença à lire et puis marcha seul. Un scanner fut réalisé : à l'endroit de la tumeur, il y avait juste une cicatrice.
Cette affaire est toujours à l'étude. Gonzalo est maintenant un jeune homme qui mène une vie normale, a des amis, est heureux de vivre et remercie Dieu pour sa guérison.
Depuis lors, dans le sanctuaire, ont été déclarées de nombreuses guérisons. Beaucoup de pèlerins ont spontanément écrit dans le livre de témoignages. Fin 1989, il y avait déjà 187 pages.
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Certains cas, se sont déclarés immédiatement, parmi lesquels , nous mentionnerons les suivants :
Juan Ignacio Cordero Olguín, âgé de 9 mois, souffrant d'une méningite le paralysant complètement, après avoir été aveugle, sourd, inconscient, et dans le coma pendant neuf jours, se réveilla le dixième, complètement guéri après que sa famille, ait élevé ses prières à la Vierge du Rosaire de San Nicolás.
Les examens médicaux effectués plus tard, ont confirmé la guérison : telle que la déclaration signée par Celia C. De . Olguín du 24 Novembre 1987.
Anabella Rao Renée, 12 ans, étudiante, souffrant de paralysie et atone des membres inférieurs depuis le 14 décembre 88. Le médecin l'a hospitalisée, et fait une ponction lombaire pour analyser le liquide céphalo-rachidien. L'analyse, qui a révélé l'existence de la réaction Pandyt. Diagnostic : syndrome de Guillain Barré.
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L'amélioration s'était produite le 17 Décembre. Le 26, elle pouvait se déplacer sans aide. En Janvier 1989, l'amélioration a été plus prononcée, et, aidée par des exercices de rééducation, le 7 Février elle pouvait marcher normalement.
A partir du moment où ils avaient connu le diagnostic, la jeune fille et sa mère avaient recommandé son cas à la Vierge du Rosaire de San Nicolás, avec une certitude absolue qu'elle la «protégeait sous son manteau." La mère récitait continuellement l'Angelus», et demandait à Dieu la force nécessaire d'accepter le bon vouloir de la Vierge.
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La neuvaine a été lancée le 17 Décembre, jour où la maladie s'est améliorée brusquement. Cette guérison, dans un délai aussi court, est un cas exceptionnel et totalement contraire à l'évolution des pronostics, selon les médecins responsables.
La mère d'Anabella nous a envoyé un courrier électronique daté du 22 Novembre 1999, qui nous dit qu'Anabella, aujourd'hui âgée de 23 ans, est une belle jeune femme qui a remporté de nombreux succès équestres, est en dernière année d'économie, et fait un stage dans une compagnie d'assurance. Anabella est maintenant en bonne santé.
Adriana Merci pour ce beau témoignage! Merci pour notre Mère qui montre tant d'amour !
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AUTRES GUÉRISON
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Une jeune fille de onze ans de Rawson, Chubut, en Septembre 1988 a commencé à avoir des symptômes bronchiques de plus en plus intenses. En Mars 1991, les symptômes étaient les suivants : une toux, une fièvre, l'incapacité d'ingérer des solides, une perte de poids. Son entrée a été décidée à l'hôpital Garrahan de Buenos Aires. On a procédé à une radiographie thoracique qui a révélée une tache dans la partie supérieure, avec une présomption de tumeurs embryonnaires. Son médecin de Rawson, à cause de l'essoufflement, envisageait la possibilité d'une trachéotomie avant le voyage.
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L'ensemble de la famille était en prière devant la Vierge de San Nicolás. Amis et connaissances, priaient également pour la jeune fille. C'est pendant le voyage que tous les symptômes ont disparus.
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Quand ils sont arrivés à l'hôpital Garrahan, la tache avait totalement disparue. Le lendemain, ils sont retournés à Rawson. La jeune fille est maintenant en bonne santé.
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Une jeune de Buenos Aires, dont les parents sont médecins, présentait dix-huit tumeurs dans le cou, qui envahissaient la région. Une biopsie des ganglions lymphatiques n'a révélée aucune anomalie.
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Au cours des trois années suivantes, de 1985 à 1988, les ganglions du cou ont continué à augmenter, avec des épisodes répétés de fièvre.
En 1988, un scanner a montré une masse tumorale située dans le muscle sternum. En Mars de la même année, elle a effectué une biopsie qui a mis en évidence des cellules maligne de lymphôme de type T Hopkin.
La famille se mit en prière avec confiance et se rendit avec la malade à San Nicolas. L'opération eût lieu en Décembre 1988 et l'on constata que la masse tumorale avait disparu entre le scanner et l'opération chirurgicale.
Ce genre de guérison est accompagnée de profonds changements de vie avec guérison simultanée du corps et de l'âme.
Le Bureau médical déclare que communément, ce qui est intéressant, c'est la conversion de toute la famille et le cercle d'amis.
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