EU
SACRÉ/SAINT FEU
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3 MOÏSE dit : «Je veux faire un détour pour considérer cette grande vision, et voir pourquoi le buisson ne se consume point»
4 YAHWEH vit qu'il se détournait pour regarder ; et DIEU l'appela du milieu du buisson, et dit : «MOÏSE ! MOÏSE Il répondit : «Me voici» 5 DIEU dit : «N'approche pas d'ici, ôte tes sandales de tes pieds, car le lieu sur lequel tu te tiens est une terre sainte» 6 Il ajouta : «Je suis le DIEU de ton père, le DIEU d'ABRAHAM, le DIEU d'ISAAC et le DIEU de JACOB». MOÏSE se cacha le visage, car il craignait de regarder DIEU.
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CHRONIQUES 6
41 «Maintenant, YAHWEHDIEU, levez-vous, venez à votre lieu de repos, vous et l'arche de votre force ! Que vos prêtres, YAHWEHDIEU, soient revêtus de salut, et que vos saints jouissent du bonheur !
42 YAHWEHDIEU, ne repoussez pas la face de votre oint ; souvenez-vous des grâces accordées à DAVID, votre serviteur»
Chapitre 7
1 Lorsque SALOMON eut achevé de prier, le feu descendit du ciel et consuma l'holocauste et les victimes, et la gloire de YAHWEH remplit la maison.
2 Les prêtres ne pouvaient entrer dans la maison de YAHWEH, car la gloire de YAHWEH remplissait sa maison.
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LE
FEU SACRÉ – EN GREC Αγιος Φως «LUMIÈRE SACRÉE»
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attesté
annuel dans le monde chrétien, si l'événement n'a été
documentée consécutivement depuis 1106. Dans les pays orthodoxes
à travers le monde l'événement est retransmis en direct.
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La
cérémonie débute à midi, quand le patriarche de Jérusalem ou
une autre évêque orthodoxe récite une prière spécifique. Les
fidèles rassemblés ensuite chantent «Seigneur, prends pitié»
(Kyrie eleison en grec) jusqu'à ce que le feu Saint descende sur
une lampe à l'huile d'olive détenue par le patriarche alors
qu'il est seul dans le SAINT SÉPULCRE de JÉSUS-CHRIST. Le
patriarche sort alors de la chambre funéraire, récite des
prières, et distribue la lumière aux fidèles.
. Le feu s'enflamme spontanément ainsi que d'autres feux sur les bougies autour de l'église. Les pèlerins déclarent que le Saint-feu ne brûle ni les cheveux ni les visages, etc, dans les 33 premières minutes qui suivent l'embrasement. Avant d'entrer dans le SAINT SÉPULCRE de JÉSUS-CHRIST, le patriarche ou archevêque président est inspecté par les autorités israéliennes pour prouver qu'il ne transporte pas des éléments techniques pour allumer le feu. Cette enquête est effectuée par des soldats turcs.. Le Feu Sacré est d'abord mentionné dans des documents datant du 4ème siècle. Une description détaillée du miracle est contenue dans le carnet de route de l'higoumène russe DANIEL, qui était présent à la cérémonie en 1106. DANIEL mentionne une incandescence bleue qui descend de la coupole de la Edicula où le patriarche attend le Feu Sacré. Certains affirment avoir été témoin de cette incandescence dans les temps modernes. |
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FEU
SAINT, FEU SACRÉ
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AVRIL 2010 LA
CROIX
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Chaque
année, le Samedi saint, des milliers de chrétiens orthodoxes
célèbrent le Feu sacré, une cérémonie aussi belle
qu’inquiétante, qui a lieu au SAINT SÉPULCRE. Les patriarches
grec et arménien entrent dans l’édicule qui abrite le Tombeau
du CHRIST.
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leurs
cierges. Et aussitôt, ils embrasent le cierge de leurs voisins
immédiats qui feront de même à leur tour… En quelques
secondes, le Feu sacré illumine des milliers de cierges dans une
foule compacte. Le risque d’une catastrophe n’est jamais loin.
Le Feu sacré a déjà embrasé la rotonde du SAINT SÉPULCRE
par
le passé.
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LA
LUMIÈRE DE L'ESPRIT-SAINT
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délicatesse,
elle caresse son propre visage. Elle recommence une fois encore,
puis elle prend le bouquet de cierges et le présente au jeune
homme. Plus rapidement et plus gauche, il fait les mêmes gestes
que la jeune femme ; passe ses mains dans la flamme et porte
ensuite les mains à son visage.
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Terre
Sainte pour la deuxième fois mais c’est la première qu’elle
vient à Pâques. Elle est venue de Moscou avec son jeune époux,
SERGUEÏ. Ils sont là pour une semaine et en ce samedi saint,
elle fête son anniversaire.
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«C’est
mon plus bel anniversaire», précise-t-elle aussitôt. .../...
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Une
heure plus tard, lorsque le SAINT SÉPULCRE
s’est
en partie vidé, les pèlerins, qui étaient restés à
l’extérieur, peuvent à leur tour y pénétrer. Ils peuvent
assister à la cérémonie des syriaques orthodoxes, qui succède
à celle menée conjointement par les grecs orthodoxes et les
arméniens. Les franciscains, eux, finissent tout juste de
nettoyer leur espace qui jouxte celui du Tombeau. Le marbre des
Franciscains est déjà aussi immaculé que s’il n’y avait
jamais eu de cérémonie du Feu Sacré.
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DEPUIS
QUAND CE PRODIGE A-T-IL LIEU ?
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Depuis
le 4ème siècle jusqu'à nos jours, des sources écrites
rappellent cet événement impressionnant. De ces sources, il
apparaît clairement que le miracle a été célébré au même
endroit, le même jour, et dans le même cadre liturgique tout au
long de ces siècles.
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Pendant
des siècles, dans l'histoire du Saint-feu, on raconte de nombreux
miracles qui se manifestèrent en maintes occasions, généralement
lorsque des hétérodoxes ecclésiastiques tentèrent de
l'obtenir.
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Selon
la tradition, en 1099, par exemple, l'échec des Croisés pour
obtenir le feu conduisit à des émeutes de rue à Jérusalem.
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Il
est également allégué qu'en 1579, le patriarche arménien
priait jour et nuit afin d'obtenir le feu sacré, mais le feu
frappa miraculeusement une colonne près de l'entrée et alluma
une bougie tenue par le Comité permanent patriarche orthodoxe à
proximité.
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En
entrant dans le temple, de nombreux chrétiens orthodoxes vénèrent
cette colonne, qui porte les marques et une large fissure
attribuable à l'éclair de la Saint-feu.
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LA
LUMIÈRE SAINTE PROVENANT DU TOMBEAU DE NOTRE SEIGNEUR DIEU ET
SAUVEUR JÉSUS-CHRIST
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Les
pèlerins voyageant à Jérusalem, depuis les temps anciens et
jusqu'à maintenant, affirment unanimement que le jour du Samedi
Saint, le Feu sacré apparaît sur le Tombeau de Notre Seigneur
DIEU et Sauveur JÉSUS-CHRIST. Des milliers de pèlerins pieux,
affluant chaque année des pays du monde entier, de tous peuples
et confessions chrétiennes, et de beaucoup d'autres, même non
chrétiennes, s'empressent, depuis des temps reculés et jusqu'à
maintenant, vers Jérusalem, pour y vénérer le Tombeau du
Seigneur,tout particulièrement le jour du Samedi Saint. Ce
jour-là, selon le témoignage de tous les voyageurs, depuis des
temps anciens, chaque année et jusqu'à maintenant, le feu incréé
apparaît sur le Tombeau de notre Seigneur DIEU et Sauveur
JÉSUS-CHRIST, à 8 heures ou, selon notre heure, à deux heures
de l'après-midi.
. Dès le vendredi, les Turcs, sous la domination desquels se trouvent Jérusalem et l’Église du Tombeau du CHRIST, éteignent les lumières dans toute l’Église (et dans les temps anciens, aussi dans Jérusalem et même chez les Turcs) ; Ils bouclent les portes du Tombeau du Seigneur et y apposent le sceau turc ; quant au patriarche, le jour même où le feu s'allume, il est soumis publiquement à une fouille devant tout le peuple par les officiels turcs, en présence d'une garde turque importante, et ensuite seulement, accompagné de cette même garde et des officiels, en présence des chrétiens de toutes confessions et des infidèles, ayant été publiquement revêtu de ses vêtements sacerdotaux et publiquement fouillé, il pénètre dans la grotte du Tombeau du Seigneur (kouvouklia), d'où les Turcs retirent alors le sceau. |
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Les plus anciennes informations sur le feu sacré, selon l'affirmation de l'Archimandrite LÉONIDE, proviennent de l'antiquité..
Les
écrivains grecs, rappelant cet événement, se reportent, en témoignage
de cette ancienneté, aux écrits des Pères de l’Église :
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SAINT
GRÉGOIRE DE NYSSE
(331/394),
dans
sa seconde homélie sur la Résurrection, écrit :
. «PIERRE, ayant vu de ses propres yeux, mais aussi par hauteur d'esprit apostolique que le Tombeau était illuminé, alors que c'était la nuit, le vit par les sens et spirituellement» |
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SAINT
JEAN DAMASCÈNE
(676/749),
dans
ses chants liturgiques, fait souvent mémoire de la lumière
brillant miraculeusement sur le Saint Tombeau. Ainsi par exemple
:
. «PIERRE, s'étant rapidement approché du Tombeau, et ayant vu la lumière dans le SÉPULCRE, s'effraya» |
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LE
PAPE URBAIN II (1042/1099),
lors du concile
des Croisés à Clermont, dans son discours à la foule immense
rassemblée devant lui, proclama, entre autres, ceci :
. «En vérité, dans ce Temple (le Tombeau du Seigneur), DIEU repose ; jusqu'à présent, Il ne cesse d'y manifester des miracles car, aux jours de Sa Passion, alors que toutes les lumières sont éteintes au-dessus de Sa tombe et dans l'église, soudain, les lampes éteintes se rallument. Quel cœur, si endurci soit-il, ne s'attendrirait pas devant une telle manifestation !» |
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Il
est fort à propos de citer ici le témoignage du pèlerin
HIÉROMOINE
MÉLÉTIOS,
et d'autres encore, sur la tentative des Arméniens de chasser les
chrétiens orthodoxes du Temple de Jérusalem, pour recevoir par
leurs propres hiérarques le feu incrée de la «kouvouklia».
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ignorant
tout à fait que la lumière sainte était descendue chez les
orthodoxes, l'attendaient pour eux à l'intérieur du Tombeau,
clamant consciencieusement, d'une voix forte, comme des Baalatim.
Mais les Turcs qui gardaient le Saint Portail, voyant un tel
miracle, ouvrirent les portes aussitôt. Le Patriarche entra dans
le Temple avec les orthodoxes, proclamant :
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«Qui
est le DIEU grand, sinon notre DIEU ? Tu es DIEU, qui fait des
merveilles !».
et la suite ... Les Turcs, présents lors du miracle, crurent. Y eut-il un signe, semblable ou non, avec les latins et autres chrétiens, nous l'ignorons. . Le HIÉROMOINE MÉLÉTIOS, pieux staretz de Sarov affirme que l'apparition de feu sacré ne provient pas, semble-t-il, d'ailleurs que précisément du Tombeau lui-même, qui aurait été sanctifié par le Corps du CHRIST, qui le fait sourdre chaque année en signe de vérité et de rectitude de foi. N'ayant pu être personnellement témoin de l'apparition du feu, le HIÉROMOINE MÉLÉTIOS rapporte les paroles de l'Archevêque MISSAÏL, dont c'était alors le service :. «Étant entré, lui dit l'Archevêque MISSAÏL, à l'intérieur du Saint Tombeau, nous voyons sur tout le couvercle de la tombe une lumière scintillante, comme si y étaient répandues de minuscules perles de verre, d'apparence blanche, bleue, écarlate, et d'autres couleurs, qui ensuite, se fondant les unes avec les autres, rougeoyaient et se transformaient en feu ; mais ce feu, durant le temps nécessaire à lire sans hâte quarante Kyrie Eleison, ne produit pas de brûlure et ne consume pas, et les candélabres et bougies préparés s'y allument : mais par ailleurs, ajoute l'Archevêque, comment et d'où cela provient, je ne saurais le dire» |
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