SAINT JEAN OSCO
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(1815-1888)
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La vocation de Jean Bosco pour les jeunes défavorisés
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SAINT JEAN BOSCO 1. (†1888) connu sous le nom de DOM BOSCO, fondateur des Salésiens, grands éducateurs reconnus mondialement. (D'après Jacques Donne : Don Bosco, l'ami des jeunes) - Aussi 31 janv. 1996 et 1997.
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SAINT JEAN BOSCO ou DOM BOSCO 2. (†1888) prêtre à Turin, désireux d'aider les jeunes garçons abandonnés dans les rues, fondateur des salésiens, religieux éducateurs très nombreux. (Aussi 24 novembre 2000)
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Dès sa plus tendre enfance, JEAN BOSCO apprit de sa mère (veuve) à aimer, à prier la VIERGE MARIE, à avoir souvent recours à elle. A l’âge de 9 ans, Marie lui indiquera la route à suivre. Sous la forme d’un «songe», comme cela lui arrivera plusieurs fois dans sa vie.
«Je suis celle que ta maman t’a appris à prier trois fois par jour»
Il le raconte lui-même :
«Je me trouvais au milieu d’une troupe d’enfants qui se battaient, juraient, s’injuriaient. Aussitôt je voulus les en empêcher en usant de la force de mes poings. Je vis alors venir à moi une belle DAME qui m’a dit : «Ce n’est pas ainsi que tu y arriveras, mais par la douceur».
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JEAN BOSCO s’apprête à célébrer la messe dans une église de Turin. Il fait froid. La porte de la sacristie est ouverte. Un jeune d’une quinzaine d’années entre pour être au chaud. Le sacristain apprenant qu’il ne sait pas servir la messe, le chasse à coup de plumeau. Et JEAN BOSCO de lui dire :
«Rappelez-le, c’est mon ami».
Un dialogue bref s’engage alors. JEAN BOSCO apprend que, venu de la campagne pour trouver du travail ce jeune est orphelin, ne sait ni lire ni écrire, ne sait pas grand-chose de la religion. Alors JEAN BOSCO lui demande :
«Tu sais au moins siffler ? Jouer ?»
La glace est rompue.
«Et si, moi, je te faisais le catéchisme, tu voudrais ?»
Réponse positive, bien sûr…
JEAN BOSCO célèbre la messe à laquelle assiste le garçon. Ensuite, c’est la première leçon de catéchisme. JEAN BOSCO, conscient que quelque chose de grand commençait, récite de tout son cœur un «Je vous salue» et confie la suite à MARIE. C’était un 8 décembre, fête de MARIE IMMACULÉE, et JEAN BOSCO a affirmé qu’il n’avait jamais prié l’AVE MARIA avec autant de ferveur. |
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La semaine suivant ce 8 décembre, notre jeune revient. Comme il l’avait promis à JEAN BOSCO, il est accompagné de quelques dizaines d'autres, dans le même cas que lui. Au bout d’un certain temps, ils sont plusieurs centaines. Après pas mal de difficultés et de déboires, JEAN BOSCO trouve à louer une sorte de hangar, que les jeunes eux-mêmes aménagent, car la plupart son apprentis ou ouvriers du bâtiment. Ce sera le premier «internat».
Pour s’occuper du linge, de la nourriture, du jardinage, il fait venir sa maman, depuis la campagne piémontaise. Après avoir fait le tour de la maison, elle dit à son fils :
«Mais ça manque de tout ici».
A quoi le fils répond, en montrant une image de MARIE accrochée au mur :
«Mais elle est là, elle !».
Au bout de quelques temps, «maman MARGUERITE» meurt. JEAN BOSCO se tourne vers MARIE et dit :
«Désormais, c’est vous qui serez la maman de ces jeunes et qui veillerez sur eux».
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TERRE DE FEU ET PATAGONIE...
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Ayant établi des œuvres en dehors d’ITALIE déjà (FRANCE, ESPAGNE, BELGIQUE…), DON BOSCO songe à envoyer des Salésiens en mission au loin, dans des terres encore païennes. Or, une nuit, la VIERGE montre à DON BOSCO, dans un songe, des contrées où la foi chrétienne n’avait pas encore pénétré : PATAGONIE et TERRE DE FEU, à l’extrême sud de l’AMÉRIQUE DU SUD. Et DON BOSCO vit ces pays avec une telle précision que, quelques années après, de passage à LYON, il peut faire une conférence sur ces régions à des membres d’une académie de géographie qui en furent stupéfaits… car il n’y était jamais allé ! Les Salésiens furent ainsi les premiers à christianiser cette partie du monde.
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Un songe encore, où la SAINTE VIERGE joue le premier rôle. En 1878, une nuit, elle montre à DON BOSCO une petite œuvre comprenant deux petits bâtiments où travaillent quelques dizaines d’orphelins qui apprennent les métiers de la terre et de la vigne. Cette œuvre marche vaille que vaille sous la conduite d’un prêtre du diocèse de FRÉJUS-TOULON. Et DON BOSCO voit s’organiser la maison avec toujours plus de jeunes. Il en sort même des Salésiens… (Il faut dire que pendant 30 ans de 1929 à 1959, la Navarre servit de noviciat pour la province de Lyon)… Moins de 3 jours après, l’évêque de FRÉJUS-TOULON écrit à DON BOSCO pour lui demander de venir prendre la maison… Evidemment, il accepta sans hésitation.
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«La VIERGE MARIE : c’est elle qui a tout fait !...»
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Ce ne sont là que quelques faits. Il y en a bien d’autres ! Mais ils montrent la confiance de DON BOSCO en MARIE : comment il s’est laissé guider par elle, combien elle a été son inspiratrice… et comment il a su inculquer à ses jeunes (élèves et religieux) une grande dévotion à la SAINTE VIERGE, invoquée sous le titre d’ «Auxiliatrice» ou «Secours des chrétiens». Tout cela lui a permis de dire, à la fin de sa vie, alors que l’on s’étonnait de toutes ses œuvres : «La VIERGE MARIE : c’est elle qui a tout fait !...»
...y compris ses nombreux miracles, toujours réalisés par son intermédiaire. Il est le fondateur de la Société de Saint François de Sales (Salésiens), approuvée en 1869 et de l'Institut des Filles de Marie Auxiliatrice (salésiennes). Sa fête : le 31 janvier.
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SAINT DOMINIQUE SAVIO APPARAÎT
À SAINT JEAN BOSCO |
Apparition de SAINT DOMINIQUE SAVIO peu après sa mort à DON BOSCO. DON BOSCO est muet et tremblant.
DOMINIQUE SAVIO ouvre le dialogue :
- «Rassurez-vous, DON BOSCO, il n’y a pas lieu de trembler».
- «Je tremble parce que je ne sais pas où je me trouve».
- «Au lieu du bonheur».
- «La où les justes sont récompensés ?»
- «Non, pas au Paradis. Aucun oeil humain ne pourrait supporter l’éclat de sa lumière. Celle que vous apercevez est la lumière naturelle, renforcée par la toute-puissance Dieu…»
- «Alors quelle doit être votre bonheur en Paradis ?»
- «Il faudrait l’expérimenter pour la connaître. Nous sommes en DIEU, c’est tout dire».
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… Alors DOMINIQUE SAVIO lui montre un merveilleux bouquet de fleurs qu’il tient dans ses mains.
- «Vous voyez ces fleurs ? dit DOMINIQUE ; Elles représentent les vertus qui plaisent le plus à DIEU : la rose de l’amour, la violette de l’humilité, le tournesol de l’obéissance, l’amère gentiane de la mortification, le lys de la pureté, le blé qui fait les hosties, et l’immortelle de la persévérance»
DON BOSCO demande alors à DOMINIQUE quelle est, parmi ces vertus, celle qui a été la plus consolante à l’heure de sa mort, et DOMINIQUE, après l’avoir en vain laissé essayer de deviner, lui livre la vérité :
- «Ce fut l’assistance toute-puissante de la MÈRE DE DIEU. Dites-le à vos fils, pour qu’ils ne manquent pas de l’invoquer tant qu’ils sont en vie...»
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PROPHÉTIES TRADUCTION GOOGLE (si vous avez une meilleure traduction...!!??)
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MARIE lui indiquera la route à suivre. Sous la forme d’un «songe», comme cela lui arrivera plusieurs fois dans sa vie.
Les visions de DON BOSCO ont commencé à l'âge de seulement neuf ans jusqu'à la fin de sa vie. Sur les instructions du Pape PIE IX, DON BOSCO s'est conformé à la demande du Pape d'écrire ses visions pour la prospérité et l'édification des fidèles.
On l'envoya en mission dans la prison de Turin et c'est alors qu'il vit clair en lui. Il sortit de cette géhenne, bouleversé ; car, parmi les captifs, figuraient un grand nombre de petits voleurs et de petits vagabonds, enfermés par autorité de justice et qui achevaient de se tarer et de se pourrir, les uns contre les autres, en ces tristes lieux.
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MARIE lui indiquera la route à suivre. Sous la forme d’un «songe», comme cela lui arrivera plusieurs fois dans sa vie.
Les visions de DON BOSCO ont commencé à l'âge de seulement neuf ans jusqu'à la fin de sa vie. Sur les instructions du Pape PIE IX, DON BOSCO s'est conformé à la demande du Pape d'écrire ses visions pour la prospérité et l'édification des fidèles.
On l'envoya en mission dans la prison de Turin et c'est alors qu'il vit clair en lui. Il sortit de cette géhenne, bouleversé ; car, parmi les captifs, figuraient un grand nombre de petits voleurs et de petits vagabonds, enfermés par autorité de justice et qui achevaient de se tarer et de se pourrir, les uns contre les autres, en ces tristes lieux.
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Il se rappelait alors un songe qu'il avait eu, dans son enfance, une vision «d'animaux sauvages qui hurlaient et s'entre-déchiraient», tandis qu'une voix mystérieuse lui disait «Prends ta houlette et mène-les paître.» Il avait obéi et tous ces animaux s'étaient aussitôt transformés en de paisibles brebis. Cette vision dont il n'avait jamais bien saisi le sens, il se l'était souvent remémorée et certainement le jour de son sacerdoce, alors que rentré dans sa chambre, il s'était écrié, ruisselant de larmes : «Mon DIEU, il me reste à correspondre à votre volonté, en devenant dompteur de bêtes humaines, car il me semble que c'est à cela que vous me destinez !» Il dut à ce moment-là, pour peu qu'on y réfléchisse, comprendre déjà un peu la signification de son rêve, mais l'illumination complète ne se fit qu'au départ de l'ergastule de TURIN. Sa vocation de pasteur de brebis galeuses, de pâtre de vauriens, s'implanta de plus en plus impérieuse en lui, ne lui laissant plus de doute sur la nature de son apostolat, le harcelant sans trêve pour qu'il vînt en aide à l'enfance abandonnée et la sauvât. Ces visions informaient JEAN BOSCO des garçons qui étaient en sa garde qui étaient sur le point de mourir, ce qui permettait à Jean de s'assurer que l'âme des garçons n'était pas en état de péché. |
Mais DON BOSCO a également reçu ces visions, comme dans un rêve, qu'il a relaté dans ses écrits.
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Dans l'un d'eux, en 1870, il explique ce qu'il a vu et entendu :
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«La guerre viendra du sud, la paix du nord. Les lois de la FRANCE ne reconnaîtront plus le Créateur. Le Créateur se révélera lui-même en la visitant trois fois du fléau de sa colère.
La première fois, il détruira sa fierté par la défaite, le pillage et la destruction des cultures, du bétail, et les hommes.
Lors de sa deuxième visite de la GRANDE PROSTITUÉE DE BABYLONE, les fidèles endeuillés appelleront. LA MAISON DE PROSTITUTION EUROPÉENNE qui a perdu son chef est en proie au chaos.
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«PARIS ! PARIS ! PARIS ! Au lieu de vous édifier au nom du Seigneur, vous vous entourez de maisons de mauvaise réputation. Faute d'avoir détruit vous-même, votre idole, le PANTHÉON, sera réduit en cendres, de sorte qu'on pourra dire que :
«l'iniquité s'est menti à elle-même. A cause du mépris de ma vérité, vos ennemis vous plongeront dans l'angoisse et la famine, dit le Seigneur»
«Lors ma troisième visite, vous entrerez sous le joug étranger. De loin vos ennemis verront votre palais en flammes, votre maison en ruines, trempés dans le sang de vos héros qui ne sont plus.
«Mais voici, qu'un grand guerrier du nord apparaît, une bannière dans sa main droite, le bras portant cette inscription :
«Irrésistible est la main de l'Éternel.. «À ce moment-là, le Vénérable vieil homme de Rome se rendra au devant de lui pour le rencontrer, brandissant une torche en flammes.
La bannière grandit et sa grande noirceur devient blanche comme la neige ; au centre, le nom du Tout-Puissant en lettres d'or» |
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La vision suit à cette sinistre mise en garde
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La vision suit à cette sinistre mise en garde
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«Maintenant, la voix du Ciel s’adresse au Pasteur des pasteurs.
Dépêchez-vous ! Si les nœuds ne peuvent pas être déliés, coupez-les. Ne vous arrêtez pas devant les difficultés et continuez jusqu'à ce que l'hydre de l'erreur ait été décapitée. L'enfer fait trembler la terre, mais le monde sera sauvé et les fidèles exulteront. Rassemblez-vous de nouveau par deux. Où que vous alliez, accomplissez la tâche qui vous est confiée et conduisez la à son terme. Les jours passent rapidement et vos années ont atteint leur terme, mais la REINE DES CIEUX vous aidera toujours, et, comme par le passé, elle sera toujours «magnum et singulare dans Ecclesia présidium». |
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Et à la vision suit :
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Et à la vision suit :
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«Sur le troupeau et sur les bergers Ma main va peser lourd. Famine, la peste et la guerre sera telle que la mère aura à pleurer à cause du sang de leurs fils et de leurs martyrs morts dans un pays hostile.
«Que reste-t-il, ingrats, efféminés, de la fierté de ROME ? Vous avez atteint un point que vous ne recherchez pas plus loin. Vous n'admirez dans votre souverain que le luxe, en oubliant que vous et votre gloire est maintenant sur le Golgotha. Maintenant, il est vieux, fragile, sans défense et dépossédé. Néanmoins, bien que captif, ses paroles font trembler le monde entier»
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ROME |
«ROME ! ... je te rendrai visite quatre fois ! la première, j'ébranlerai tes terres et ses habitants. La deuxième, j'apporterai massacre et extermination jusqu'à tes murailles. Tu n'ouvres pas encore les yeux ? je viendrai une troisième fois ... et le règne de la terreur, de la peur et de la désolation commencera. Mes sages fuient, ma loi est foulée aux pieds, je viendrai donc une quatrième fois. Malheur à toi si ma loi reste encore un vain mot ! Ton sang et le sang de tes fils laveront les outrages que tu as faits contre la volonté divine.»
Et cette vision va à exhorter les fidèles à rester solidement ancrés sur la vérité de de l’Église, et met en garde ceux qui préfèrent le «monde» des plaisirs, au péril de leur âme éternelle.
Mais notre Seigneur console aussi les fidèles à travers les mots dits à JEAN BOSCO dans la même vision,
«Les choses, d'après vous, avancent trop lentement, mais la grande REINE DU CIEL s'approche, la puissance du Seigneur est sur elle. Elle dispersera ses ennemis comme de la fumée. Le vénérable vieil homme avec tous ses anciens vêtements lui appartient.
«Il vient encore un violent cyclone. L'iniquité touche à sa fin et cesse, après deux pleines lunes qui ont brillé pendant le mois des fleurs, l'arc-en-ciel de la paix apparait sur la terre»
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Le grand ministre verra l'épouse que son roi a revêtu de gloire. Partout dans le monde, le soleil est lumineux et brille comme jamais depuis les flammes de la pentecôte jusqu'à aujourd'hui et comme il ne le sera jamais jusqu'à la fin des temps»
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Même si SAINT JEAN BOSCO a vu ces incroyables et terrifiantes visions que notre Seigneur lui a révélé sur l'avenir du monde si l'homme ne se repent pas et ne revient pas à DIEU, JEAN BOSCO n'a jamais perdu sa paix d'esprit ou l'âme, mais s'est appuyé sur la prière pour apaiser la main puissante de la Justice.
.Même si SAINT JEAN BOSCO a vu ces incroyables et terrifiantes visions que notre Seigneur lui a révélé sur l'avenir du monde si l'homme ne se repent pas et ne revient pas à DIEU, JEAN BOSCO n'a jamais perdu sa paix d'esprit ou l'âme, mais s'est appuyé sur la prière pour apaiser la main puissante de la Justice.
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DESCRIPTION DU RÊVE DES DEUX PILIERS (fin mai 1862) |
DON BOSCO vit la mer, et là, rangée en bataille, des vaisseaux innombrables remplis d'armes de toutes sortes. Cette immense armada s'apprête à livrer un assaut sans merci à un grand et majestueux vaisseaux, lequel commande à toute une flottille massée contre ses flancs.
Et la bataille navale s'engage. Or, le vent s'est levé et la tempête se déchaîne. La mer démontée favorise les assaillants. Soudain, voici qu'apparaissent, dominant les flots en furie, deux colonnes. L'une, la plus grande, porte sur son faîte une lumineuse hostie, et sur le fût, cette inscription : «SALUT DES CROYANTS». L'autre où sont gravés ces mots : «SECOURS DES CHRÉTIENS», est surmontée d'une statue de la Vierge Immaculée, ayant un chapelet passé à son bras. Le socle des colonnes est garni d'ancres, de crochets et de chaînes. L'assaut tourne à l'avantage des agresseurs. C'est alors qu'apparaît à la proue du grand vaisseau l'homme qui en assume le commandement. Et c'est le Pape. D'où il devient désormais fort clair qu'il s'agit de la Nef de l'Église. Le commandant suprême du grand Vaisseau (le Pape) convoque à son bord les capitaines des vaisseaux auxiliaires (les Évêques) afin de délibérer des décisions à prendre.
La tempête, un instant apaisée, se ranima plus violente, obligeant chacun des capitaines à regagner son navire. Une accalmie se fit sur la mer et l'hostilité des ennemis parut fléchir. La grande Nef reprit sa route. Le pilote suprême en profite pour appeler de nouveau les autres pilotes à son bord. Mais voici, soudain, que la tempête une fois encore se déchaîne, plus violente que jamais. Mais les colonnes sont toujours là, dressées immobiles sur la mer en furie. Et le Pape, tenant ferme la barre, s'efforce de maintenir la Nef entre elles deux. Or, le Navire est assailli de toutes parts et de toutes les manières. Les vaisseaux ennemis vomissent le feu de toutes les gueules de leurs canons, ou foncent sur lui, le frappant de leurs étraves cuirassées. Pourtant, quelque acharnement qu'ils mettent en leurs assauts, et quelques très grands dommages qu'ils infligent, les efforts des ennemis ne peuvent venir à bout de la grande Nef. D'un formidable coup de sa proue, un vaisseau des assaillants ouvre une large blessure dans le flanc de la Nef de l'Église. Mais un souffle mystérieux, venu des Colonnes, referma la brèche par où allait s'engouffrer la mer. La confusion se met alors dans la flotte ennemie. Dans le vacarme énorme du combat, ses propres vaisseaux se heurtent entre eux, se brisent et coulent. « L'ennemi entreprend alors sur les ponts un corps à corps furieux ; les mains et les poings se tordent dans la mêlée, pendant que pleuvent blasphèmes et malédictions» «Tout à coup LE PAPE est frappé. Il tombe, ses sujets le relèvent ; mais un deuxième coup l'abat ; il est frappé à mort. Un cri de victoire retentit. Sur les vaisseaux ennemis on exulte et on danse» «La mort du Pape est à peine connue que le successeur est élu. Les adversaires perdent courage. Le nouveau Pontife passe à travers tous les obstacles et conduit le Vaisseau entre les deux Colonnes, où il amarre solidement la proue à la Colonne de l'Hostie et la poupe à celle de la VIERGE.
«Alors, panique générale, désordre indescriptible. Tous les ennemis se dispersent. Leurs navires se heurtent et se brisent. Ceux qui coulent tâchent de faire couler les autres.
Quelques vaisseaux qui avaient lutté vaillamment, pour le pape viennent, eux aussi, s'attacher aux colonnes. D'autres qui, loin du danger, avaient attendu prudemment la victoire, suivent leur exemple. «Sur la mer règne maintenant un grand calme» |
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