mercredi 5 janvier 2011

PROPHÉTIES SYMPHOROSE CHOPIN

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ROPHÉTIES
SYMPHOROSE CHOPIN 
 
(1924-1983)
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Des premières démarches préliminaires ont été entreprises auprès du diocèse de NANTERRE pour l'introduction de sa cause de canonisation.


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ASSOCIATION SYMPHOROSE
215 bis, boulevard Saint Germain, 75007 PARIS
Pour promouvoir la cause de canonisation de SYMPHOROSE CHOPIN ; faire connaître sa vie et son oeuvre ; reccueillir toute la documentation utile à cet effet.
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SYMPHOROSE CHOPIN,  
«une des grandes mystiques de l'époque et une personnalité à découvrir» 
JOACHIM BOUFLET 
Des saints au XXe siècle : pourquoi ?
L'une des plus grandes mystiques stigmatisée françaises du XXe siècle, SYMPHOROSE CHOPIN (1924-1983), a vécu dans un bâtiment préfabriqué, à RUEIL-MALMAISON (Hauts-de-Seine), jusqu'à sa mort, le 27 juillet 1983.
C'était une personne du quart monde, illettrée. Sa famille était plutôt anticléricale. Je crois que ses frères la tenaient un peu pour une sorcière. Elle vivait seule avec sa mère, vivait son jeûne presque total - elle n'absorbait que de l'eau, ça et là une gorgée de vin - sur un mode jubilatoire, malgré les avanies et les suspicions qu'il lui occasionnait.
Elle y voyait une libération des contraintes de la nature matérielle, la participation anticipée à la condition des corps glorieux.
Elle n'éprouvait ni faim ni soif, et s'il arrivait qu'elle fût invitée à séjourner chez des amis, elle prenait place à la table commune sans partager le repas : les intimes le savaient, qui lui épargnaient la gêne de se trouver devant une assiette qu'elle n'eût pas utilisée. Lorsqu'elle était en compagnie de personnes qui ignoraient sa situation, elle faisait mine de manger, régalant discrètement à l'occasion le chien de la maison, s'il s'en trouvait un. Parfois, elle se trouvait dans l'obligation d'avaler quelque chose - de quoi nourrir un moineau -, et alors elle s'éclipsait bientôt discrètement, pour régurgiter, au prix de vives douleurs et de vomissements de sang, le peu qu'elle avait dû absorber.
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SYMPHOROSE CHOPIN bénéficiait aussi de secours extraordinaires de la part de son ANGE GARDIEN, quand elle voulait entendre la messe ou aller prier devant le Saint Sacrement.
«La nuit de Noël 1965,  la maladie retenait SYMPHOROSE alitée ; elle n'avait pu se rendre à la messe de minuit. Tandis qu'elle priait, elle fut «ravie en extase» et «reçut la communion de la main d'un ANGE».

Sa sœur cadette BERTHE, qui dormait auprès d'elle, fut alors réveillée par une vive lumière :

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«Assise dans son lit , les mains croisées sur la poitrine , les yeux fermés , SYMPHOROSE était toute brillante , comme une ampoule ; il y avait de la lumière dans toute la chambre. Même maman s'en est avisée ,malgré qu'elle dormait de l'autre côté. Il y a eu ensuite la sirène des pompiers et du bruit dans l'escalier, parce que les voisins croyaient que la maison brûlait».
Âgée de huit ans à peine, elle était obligée par ses parents, qui avaient à nourrir une famille nombreuse, de gagner quelque argent sur un terrain de golf : elle courait ramasser les balles égarées et les rendait aux joueurs, qui lui glissaient une piécette. 
Malheur à elle si, le soir venu, elle ne rapportait pas suffisamment à la maison ! Après avoir reçu quelques taloches, elle se couchait sans avoir eu le droit de manger, au terme d'une journée épuisante passée à courir de ci de 1à. Et pas question d'aller à l'église, c'était du temps perdu !
Plus d'une fois, elle préféra se voir punie, plutôt que de manquer la messe : elle y allait le soir, après sa journée de «travail», même si elle n'avait pas récolté la somme exigée par son père.
Bientôt, son ANGE GARDIEN l'assista : vif comme l'éclair, il courait chercher à sa place les balles égarées et les lui apportait, lui faisant gagner un temps appréciable, ce qui lui permettait d'assister tranquillement à la messe. Quelques années plus tard, il agit de la même façon quand elle fut chargée par ses parents d'aller récupérer sur les crassiers, ou au bord des voies de chemin de fer, des bouts de charbon et des débris de coke, pour les revendre ça et là.
«M'apprendre à lire, c'est le plus beau cadeau qu'il m'a fait (son ANGE GARDIEN). Comme ça, je pouvais mieux prier. Du moins, je le croyais, parce que je priais dans les livres. Mais il ne m'a pas appris à écrire. Il faut dire que je n'avais plus tellement le temps, avec tout le travail à la maison, surtout que maman était toujours malade. Alors je me suis débrouillée comme j'ai pu. Ce n'est pas bien fameux, non ?».
Il est vrai que son orthographe était des plus fantaisistes. Mais son style ne manque ni de charme ni de vigueur, et elle possédait un réel talent poétique. C'est de son ange gardien qu'elle reçut les premières notions de catéchisme, c'est lui aussi qui lui apprit à lire alors qu'elle avait cinq ans : il se montrait à elle sous la forme d'un enfant de son âge vêtu de blanc, et l'instruisait pendant qu'elle s'occupait de ses jeunes frères et sœurs. Seule à le voir et à l'entendre, elle pouvait tout à la fois remplir sa tâche de petite maman et profiter des leçons angéliques. Elle regrettait surtout que l'ANGE ne lui ait pas enseigné le dessin car, aimant peindre, elle ne manquait jamais l'occasion d'offrir à ses proches une image de sa composition, à la fois naïve et riche d'enseignements.
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Sa famille est très pauvre. Un soir, alors que sa maman est à la maternité, son père, ivre, reluque la jeune fille. Pour lui échapper, la fillette saute par la fenêtre et tombe deux étages plus bas.
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Elle lève les yeux : une belle DAME descend dans la lumière du ciel, prend la fillette dans ses bras, la remonte dans le taudis, la couche dans son lit. Et interdit au père (il la voit) de la toucher.
Son père meurt, sa mère se remarie.
SYMPHOROSE garde de sa chute une claudication.

On est en pleine guerre. Avec ses jeunes sœurs, elle va le long de la voie ferrée récupérer des déchets de coke pour  les revendre.
Un soir, elle n'a pas rapporté ce que l'on attendait d'elle, elle est battue comme plâtre par son beau-père. Cette fois, c'est très grave, la colonne vertébrale est brisée. On dira que c’est une chute. Elle est paralysée, bientôt grabataire. Et la belle DAME, qui pourtant vient la visiter fréquemment, ne la guérit pas.
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En 1954, Année sainte, des voisins se cotisent pour offrir à la malade le pèlerinage à Lourdes avec sa paroisse. À la grotte, c’est la rencontre décisive, mystérieuse, avec la DAME et son FILS crucifié.  SYMPHOROSE est guérie.
Par pudeur -ce serait trop long à raconter, difficile à expliquer- elle se soustrait à l'insistance de son infirmière qui voudrait faire homologuer le «miracle». Elle se cache pour ne pas révéler son secret. Mais l'infirmière, fine mouche, parle d'elle à un prêtre de sa connaissance, l'abbé COMBES : en lui, SYMPHOROSE reconnaît le Père de son âme.
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Le prêtre est ébloui par le trésor de grâces dont elle est, sans en avoir conscience, littéralement comblée : extases, participation à la Passion du Sauveur qui, chaque vendredi, imprime ses plaies dans son corps, apparitions de la SAINTE VIERGE, de THÉRÈSE DE l’ENFANT-JÉSUS, de JEANNE D’ARC, dons charismatiques de scrutation des cœurs, de conseil, de science infuse. L’abbé COMBES perçoit en elle l’étoffe d’une sainte.


«L'archange GABRIEL avait orné de fleurs le vase qui se trouvait près de sa statue de NOTRE-DAME DE LOURDES et qu'admiraient de nombreux visiteurs. L'archange MICHAËL se chargeait parfois, lui aussi, de cette mission pour honorer la REINE DES ANGES. Beaucoup plus belles et plus parfumée que nos fleurs, ces «fleurs du ciel» - roses et lys – se gardaient plus longtemps, mais ne devaient pas être conservées. Un paroissien prit comme reliques des pétales séchés, mais elles pourrirent très rapidement. Ainsi, les ANGES coupaient court à toute dévotion mal comprise».


L’abbé COMBES (plus tard Monseigneur COMBES), futur professeur à l'Institut Catholique et l'Université du LATRAN, spécialiste de SAINTE THÉRÈSE DE L’ENFANT-JÉSUS, la conduit sans complaisance : il perçoit en elle l'étoffe d'une sainte, il la veut cachée, elle le veut aussi. Elle aimerait se consacrer à DIEU, s'enfouir dans le silence de la VIERGE MARIE, offrir sa vie en holocauste :  

«être un fiat vivant pour apprendre à chanter le MAGNIFICAT».

Mais on parle d'elle, l'infirmière n'a pu tenir sa langue. Alors, comme pour dérober SYMPHOROSE à un entourage qui se fait indiscret, la tuberculose la frappe. Années de sanatorium, terribles, loin de tous dans la solitude, mais accompagnées de grâces étonnantes pour ses compagnons d’infortune : retours à DIEU par dizaines, communions, reprise de la vie sacramentelle et même, guérisons inexplicables. 

Rien d'une exaltation mystique en tout cela, le livre de chevet de SYMPHOROSE est, avec l’Évangile, la vie de MARY EDEL QUINN, de la Légion de Marie, dont la dynamique apostolique toute simple lui convient.

Elle sait redonner aux malades, souvent abandonnés par crainte de contagion, le sens de leur dignité, l'espérance, et même la joie. Elle-même est immergée de plus en plus dans la CROIX, c'est le début d'une série d'innombrables interventions chirurgicales dont l'énoncé et la description feraient frémir ; les médecins, sidérés par son courage et la résistance de ce corps recru de souffrances, l'appellent «Trompe-la mort». Elle en rit.
La tuberculose guérit, grâce à l’ablation d’un poumon et de la moitié de l’autre, mais le cœur, affaibli, la trahit. Puis c’est le cancer de la plèvre, la carie des os. Sa survie est un miracle.
La mort de Monseigneur COMBES, en 1969, signale pour elle l’heure de Gethsémani. Elle connaît le doute, les tentations de désespoir. Elle veut tenir bon, aimer encore d'avantage. Dans sa chambre de malade, elle reçoit, quand son état le lui permet, prêtres et laïcs, évêques, missionnaires, jeunes, pauvres, marginaux et blessés de la vie, prodiguant inlassablement consolations, conseils, paroles d'espérance et même, malgré son extrême dénuement, des secours matériels qu'elle obtient de discrets bienfaiteurs.Depuis longtemps elle a renoncé à la vie religieuse : ce n'est pas là que DIEU l'attendait, mais dans l'humble, pauvre et ingrate donation de tout son être, là où la Providence l'a placée, dans ce milieu déshérité où :

«telle une fleur éclose sur le fumier»

comme l'a dit Monseigneur COMBES, elle était le plus à même de se sanctifier pour sanctifier les autres. 
Ses dernières années sont un sursis où se consomme son oblation
«pour l’unité de l’Église, la paix dans le monde et la conversion des pauvres pécheurs».
Elle meurt à l'hôpital le 27 juillet 1983, seule, comme elle l’a prédit. Nombreux sont ceux qui, ayant recours à sa prière d' intercession, assurent avoir été exaucés.

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JOACHIM BOUFLET, historien auprès du VATICAN, consultant auprès de postulateurs de la Congrégation pour la cause des saints, a été témoin de phénomènes inexplicables. Il affirme ainsi l'avoir vue s'élever à 30 centimètres du sol. D'autres fois, des lumières rayonnaient autour d'elle. JOACHIM BOUFLET ne cherche pas à expliquer ou à nier : 
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«On voit, et puis c'est tout... lâche-t-il sobrement. Nous étions plusieurs témoins. Curieusement, nous n'évoquions même pas le sujet en sortant de chez elle. SYMPHOROSE était d'une grande discrétion. Si elle apprenait que quelqu'un avait parlé d'elle à l'extérieur, elle refusait de le recevoir à nouveau. Il m'est arrivé de l'interroger sur ces phénomènes, une ou deux fois. Elle m'a répondu que ce n'était pas l'essentiel dans la vie»



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La réputation de SYMPHOROSE CHOPIN devait pourtant se répandre dans certains cercles conservateurs. HENRI D'ORLÉANS, comte de PARIS, prétendant au trône de France, entendit parler d'elle. Il souhaita la questionner au sujet de son avenir politique. Avait-elle un don de prédiction ? Toujours est-il qu'elle lui fit cette réponse républicaine :
«Jamais vous ne régnerez, ni aucun de vos descendants. DIEU a sur la France d'autres desseins, car s'il n'oublie pas le passé, il ne veut pas que nous en soyons esclaves pour construire l'avenir».
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SYMPHOROSE connut dans les années 1970/1980 de nombreux «vols angéliques». L'un des plus émouvants la conduisit au VATICAN dans la nuit où mourut le Pape JEAN-PAUL 1er, en 1978 ; et dès 4h du matin, elle était en mesure de téléphoner à ses amis les plus intimes pour leur annoncer le décès du pontife, dont la nouvelle ne serait diffusée par les médias que près de deux heures plus tard.
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De SAINT MICHEL archange, SYMPHOROSE aura reçu durant cinquante ans des lumières sur une mission au service de l’Église et de la FRANCE, dans une perspective prophétique dont les plus belles pages sont encore à écrire et que les notes de cette pauvresse de DIEU laissent entrevoir comme le triomphe de la Miséricorde divine, avec ses dimensions œcuménique et eschatologique dépassant de loin les limites de l’institution ecclésiale (…)
https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0bHEPMl6wpAJLKwlhp9y1EJH7m4AsmJFuYB8rbSx37IVKQKJO0MGJqPfq9LrUUFxxxZlFGNDuuME1DHfMBZSePhy3-Y7SuhWcMZ25g_L9t3irq5-ao7rfXnQFG2ldGVDDvy_uhBbMzuTi/w200-h536-no/
Pour l’Église
«La CROIX, sous peu, inondera la terre d’une grande lumière de résurrection. Elle apportera la réconciliation et l’Eucharistie sera exaltée».

«
SAINT MICHEL vous abrite, (il est) notre protecteur, en même temps que l'ANGE de l'Eucharistie, puisque par lui l'Eucharistie vient se poser sur notre langue, le pur parmi les plus purs des envoyés de l'IMMACULÉ
E, son interprète.»

«
SAINT MICHEL, mon confident et très fidèle protecteur, aura été mon vrai compagnon de route, et contre tous ceux qui auront essayé d'attenter à ma pureté, il aura triomphé.»
Le grand archange lui découvre quelque peu l’avenir :
«Le dernier pape sera feu de charité, feu d’Amour et feu de justice pour l’Église et la FRANCE» !

Pour couper court aux spéculations, elle préciser qu’il ne s’agit pas de JEAN-PAUL II, quels que soient le respect et la vénération qu’elle lui porte :
https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiq2mIxItdfU5k7uF1FQrzBsY2OO5MNDTlwGHaPpj5gDM74tREpiF3oz6gDXmlSCLnyOTbWso6ORSevCxeeA8SJlHEt6N-FbRSWX3NLMqIUTfy-0ZvdMLRdjm6k_K-MdWSCaokOD45fQEeR/w139-h200-no/
«Je suis en admiration devant le Saint-Père JEAN-PAUL II, qui trace la voie de la charité et réveille les indifférents partout dans le monde, ne craignant que DIEU, et devant Lui ne craignant ni la mort, ni ce que pensent et disent les pays. Il marche vers les plus pauvres, il marche avec l’étendard de la vérité.»
Toujours à propos de l'Église, elle dit :
https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhA2VFy8PuRN39qTTKjR2QVqoeyZK4zq1nu4pMO7cxcHkMTvy9wVLfw41nMobNgcVPfA4-qMCkaAjAacbo-APsCWTdUogbnkw2kJ3eTNYGquygklLTNU2oMKaRhhDJnUiv7gJbYZLPwBLKZ/w55-h51-no/ «Il faut aimer l'Église à la manière du CHRIST, manière de sacrifice et jusqu'à la mort, parce qu'elle est amour total. Mon service, c'est de donner par
amour et, pour réaliser mes fins d'amour, je désire être hostie de l'Amour miséricordieux et rédempteur : c'est là le sens de mes offrandes pour la Sainte Église. Aucun sacrifice ne pourra ralentir mon zèle.»
À propos des prêtres qui trahissent, et son attitude devant ces trahisons :
https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxNPKgIDgxb5bRfWxjBmNGEXpYMf4HBWDbBe6HjzMsnxIQu3DbmyF_1oe5fFNgMrWRwxFYxbVInu79TOLnXNSzxl-f6NDuFH6CgpKZDn3Ks4qFNNQVoCSqlDZYzE3tOUtllTXRvaYzS1DL/w153-h576-no/
«Porter plus consciemment et douloureusement le poids des trahisons sacerdotales, et nous unir plus intimement au mystère de l'Église ; j'en ressens le tragique écartèlement. (c'est ma fonction en DIEU et mon occupation terrestre, entre cette Cité du Ciel et cette cité de boue. Mais je le ferai toujours avec beaucoup de délicatesse et d'humilité, un respect et un esprit de foi qui jamais ne se démentent ; c'est avec cette clé que nous devons ouvrir ce qui, dans l’ouvre de DIEU, concerne la réforme de la Sainte Église.»
Paroles prophétiques, alors, mais elle voit plus loin, plus vaste :
«Les temps sont graves, mais ne pressons pas la volonté de DIEU, car il a tout son temps pour manifester sa gloire. Nous languissons de préparer son Royaume ici-bas ? La patience est une belle vertu, l'espérance est disponibilité à DIEU.»


Revenant sur la vocation et l'avenir de la FRANCE, elle a reçu de SAINT MICHEL cette assurance :
https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiK8UrYN_RIpqDPSUGhfsucruH7RZgy5iku27BaWXNyiGfrB5Yay2S8iZIx450O6Yx16c1Xdo4HqzKBXE-TEazsGGiVqcS0vAWXbM5rFX6E36Aotm9fVv6euEXxvw3fTKrMNya53I8aWY3u/w84-h57-no/
«Après avoir gémi et pleuré, on chantera le MAGNIFICAT (...) les racines seront ravivées, les fleurs retrouveront leur bonne odeur, car la CROIX aura purifié les racines, à l'étonnement des plus incroyants.»
«Je suis la mendiante de NOTRE-DAME, aujourd’hui plus que jamais. Nous sommes dans le temps de DIEU. Tout ce qui est catholique est mien, et je me réjouis de penser qu’ici-bas comme au Ciel il y a plusieurs demeures dans la maison du PÈRE !».

«Ma mission, il ne suffit pas de l'accomplir pour être utile, mais pour faire la volonté de DIEU. Je me suis livré totalement à JÉSUS, il est libre de faire de moi ce qu'il veut, il m'a donné l'attrait d'un exil complet. Pour souffrir en paix, il suffit de bien vouloir tout ce que veut Notre-Seigneur.»
Elle ne s’attache qu’à poursuivre sa mission dans le silence de l’amour, la prière et l’offrande, réconfortée en permanence par les ANGES : 
 
«Avec les ANGES, il n’y a jamais de grève, et ils se chargent
de ne nous faire jamais chômer !»
Et, jusqu’à sa mort, le 23 juillet 1983, elle gardera vivante dans son cœur la promesse de JÉSUS : 
 
«Je suis là, ne crains rien. Je viendrai briller dans la nuit. J’enverrai SAINT MICHEL qui, de son épée courbera la terre !» - (…)
SYMPHOROSE aura donné sa vie, sans voir la réalisation des promesses qu’elle a reçues de DIEU. (…) elle aura suivi en toutes choses les indications du grand archange, dans l’assurance qu’avec ou sans elle, de son vivant ou après sa mort, le dessein de la divine Miséricorde se réalisera.
Une de ses toutes dernières paroles sera :
«Confiance, les ANGES travaillent ! Courage, SAINT MICHEL est à l’œuvre !»

Et, (…) elle mourra dans la déréliction, abandonnée de tous, mais avec l’assurance que ses voix ne l’auront pas trompée.

Monseigneur ANDR
É COMBE écrivait à un de ses amis :
«Vous avez bien raison de reconnaitre une authentique inspiration divine chez cette enfant privilégiée (...). DIEU infuse en de telles âmes des trésors de lumière et d'amour qui dépassent de beaucoup ce que croient savoir d'illustres philosophes et théologiens. Les rencontrer est une grâce ; les aider, une participation à leurs mérites.»



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SYMPHOROSE CHOPIN, inhumée au cimetière ancien de RUEIL MALMAISON, a été réduite dans un cercueil plombé Elle repose donc toujours au cimetière ancien de RUEIL MALMAISON, Place du Souvenir Français Jacques Phélizon.

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https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi8przwLkxIQtc0AzXVraaXQoVJEiX8p1GSOWkg-Vj4eNN9oevW1YZBCAl7oo8US7rNsmmvntVTJnl8JqmW9w5VZnJfv3e339bOVrO8X6CTZfajjfd0lS2FBNYewAfZsfC5aEksFe9vNEIz/w200-h150-no/
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 https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiMB_MPGjAPJoiuDuB40KF7wM6Oe9e6OlGF12UpFp8Zh38v9lXhyMpsDQpz3mQ_Db6i2MvQfOtPbe-RqC3AZzVJLtMadQOq45TuVGgY4vgNV6KSdYUyB-6Vyrn7r2lYcPi02GPRgA3qkNh9/w370-h60-no/

5 commentaires:

lionel a dit…

bonjour ,je suis lionel fils de berthe chopin symphorose que j'ai toujours appelé nénette j'ai passé toute ma jeunesse auprès,nénette était ma tante je suis surpris du contenu publié dans prophètes et mystique ,j'ai moi même vécu au 82 à rueil durant toute la période ou elle y a séjourné je pense que le contenu a été un peu affabulée je vous rapelle que mon pere mari de berthe chopin est toujours en vie ,et qu'il a toujours été au cot de nenette je souhaite rencontrer le rédacteur de ce texte merci

JOZECAT a dit…

Bonjour LIONEL,

Très heureuse que vous m'ayez contactée. Votre tante SYMPHOROSE CHOPIN dont la vie spirituelle a été très cachée s'est confiée à certains membres de l'Eglise dont JOACHIM BOUFLET, historien auprès du VATICAN et consultant auprès de postulateurs de la Congrégation pour la cause des saints . Il a écrit un certain nombre de livres où il parle de votre tante (voir ici) :

http://www.lejardindeslivres.fr/bouflet.htm

Sa longue amitié avec SYMPHOROSE CHOPIN l'a conduit à ouvrir un site qui lui est dédié :

SYMPHOROSE
http://symphorose.com/category/association/

où il espère recueillir des témoignages dans le but d'ouvrir un procès de canonisation. Il sera heureux que vous le joigniez. J'ai moi-même pris contact avec l'historienne de RUEIL MALMAISON pour tenter d'avoir des renseignements complémentaires. Cette historienne s'est déplacée au cimetière de RUEIL pour y faire des photos.

Je suis l'administrateur du forum :

MARTHE ET MARIE Forum catholique
http://marthetmarie.lifediscussion.net/

Si vous voulez bien vous y inscrire, ce sera un plaisir d'échanger avec vous par message privé en toute discrétion.

Cordialement

Ghislaine a dit…
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Ghislaine a dit…

Bonjour je suis Ghislaine nièce de Symphorose je découvre votre blog et comme mon cousin Lionel je suis très surprise de certains faits rapportés sur sa vie complètement inventés, j'ai grandi près d'elle je suis la fille de sa sœur Jacqueline et je l'ai pour ainsi dire vue tous les jours jusqu'à sa mort. Si ce n'était pas la richesse la famille n'avait rien à voir avec une famille sortie dirait on d'un roman digne de Zola. Je rajouterai que nous avons tous été baptisés avons été au catéchisme et à la messe tous les dimanches j'ai vécu dans un milieu catholique pratiquant pas du tout anticlérical. Je ne dénonce pas la vie mystique de ma tante depeinte ici mais tout l'univers sordide dans lequel vous l'avez fait vivre et qui est blessant pour ceux qui l'aimaient et qui vivaient près d'elle. Si ma pauvre grand mère de la haut a lu ce blog elle a dû se retourner dans sa tombe idem pour Symphorose qui chérissait toute sa famille qui l'a toujours entourée. Il

Alexandre a dit…

Bonjour, je cherche à continuer mon arbre généalogique... c est assez compliqué. Mon grand père s appelait Roland chopin et était le frère de symphorose.Auriez vous des informations sur ses parents ou grands parents. Bien a vous.